Municipales : 1er round à Gouesnac'h

Réunions publiques : animées par les candidats des deux listes aux municipales de Gouesnac'h, les soirées annonçaient une vidéo projection, le rappel les travaux réalisés entre 2008 et 2014, des chiffres et le programme (distribué chez les particuliers) des projets.

Mardi soir, au restaurant scolaire on comptait 120/130 personnes intéressées par le débat proposé par la liste menée par Michel Simon : BIEN VIVRE A GOUESNAC'H.  En fin de soirée le débat s'est orienté sur des questions concernant le départ de 4 adjoints au maire et du choix de la nouvelle secrétaire générale de mairie... Trop, c'est trop ! Il faut tourner la page et passer à autre chose. 

Le bourg métamorphosé a coûté à la commune 805 677 €. Sur la durée de ce mandat, ce chiffre est à rapprocher de l'entretien courant de la voirie (605 000 €). Autres chiffres, 184 602 € (l'achat des locaux commerciaux OPAC),            1 271 400 € (CCPF réseaux EDF-Télecom-éclairage public), etc.

Question. Locaux OPAC, des actions entamées pour y mettre des commerçants ?                             Réponse. On va commencer par aménager les 70 m², puis proposer ces locaux à des loyers modérés. Le projet est chiffré, comme la salle multifonctions...

Q. Pouvez-vous préciser les coûts ?                                                 R. " La salle multifonctions - à taille raisonnable de 250 m² - revient à 1,50 million d'euro (y compris la voirie)... La création d'un terrain de foot = 300/350 000 €. L'estimatif pour la démolition du hangar de Kerincuff = 60/80 000 €. Mais, il faudra faire les choses dans l'ordre donné. "

Q. Comment remédier au malaise des jeunes ? Pour un jeune qui intervient dans le débat, il suffit de faire un abri, de type préau.                                         R. " On va y penser pour installer un auvent de 10 x 6. Le choix de l'emplacement ? A Kerincuff ou ailleurs ? On souhaite aller au devant des jeunes pour connaitre leurs avis. " Dans le public, un riverain de la rue de Toulfouën dit son exaspération chaque week-end et vacances scolaires, dans la journée et une bonne partie de la nuit : bruits des mobylettes, des éclats de voix. A la gendarmerie, à chaque fois le dépôt des mains courantes reste lettre morte.                                   Un commentaire à la suite ? Pourquoi pas.

François Cosquéric

Samedi 22 mars 2014, à Gouesnac'h