• Le bleuet de France : la fleur qui symbolise le souvenir

    Journée du souvenir

    L'origine du bleuet. Il est né pendant la Grande guerre, à l'institution Nationale des invalides, un hôpital où les mutilés de guerre les fabriquaient : les fleurs de bleuets en tissu permettaient de les réinsérer socialement et de subvenir à leurs besoins.

    Journée du souvenirJournée du souvenir

     

    L'action sociale. Aujourd'hui, des collecteurs bénévoles quêtent sur la voie publique des fonds à l'occasion des journées Nationales commémoratives - le 8 mai et le 11 novembre. Les objectifs ? Financer l'action sociale et les opérations de mémoire des services départementaux.

    François Cosquéric


  • L'armistice du 11 novembre 1918

    97e anniversaire

    Le monument aux morts de Gouesnac'h, ce mercredi 11 novembre 2015.

    Après 4 années de combats, l'armistice met fin à la première guerre mondiale : la Grande guerre. En France, on déplore 1 400 000 morts, 740 invalides, 3 000 000 de blessés, des centaines de milliers de veuves et d'orphelins.


  • Benodet - Sainte Marine

    Avant - Après : le bac : 28 000 (1951) à 290 000 voitures (1971)

    Le 15 mai 1972, c'est le jour d'inauguration du pont de Cornouaille. Enfin, voilà résolu la problématique du passage de l’estuaire, entre Benodet / Clohars-Fouesnant et Combrit / Sainte-Marine. Cliquer sur la photo pour l'agrandir.

    Trait d'union avec le Pays bigouden

    Durant quelques décennies, l’automobiliste devra s’acquitter auprès du département d’un droit de passage sur le pont. Comme à une certaine époque, où la noblesse taxait le passage qui, à la Révolution fut supprimé et transféré au profit du département.

    2015. Aujourd’hui encore, Le Picot assure pour les piétons, la traversée de l’Odet, entre les deux ports. Cliquer sur la photo pour l'agrandir.

    Trait d'union avec le Pays bigouden


    Début du XIXe siècle.  C'est la mise en service d’un bac, ou plutôt d’une grande barque permettant de relier les cales de Benodet et de Sainte-Marine. Il était réservé exclusivement aux gens. Il faut attendre 1817.  C'est l'année d’installation d’un bac charretier qui propose ses services autant aux gens qu’aux chevaux et attelages. Il se déplace à la force des bras entre les deux rives, à la rame et à la godille.

    Trait d'union avec le Pays bigouden

    La notoriété aidant, le bac connaît un franc succès qui, 18 ans plus tard, justifie son remplacement par un équipement mieux adapté à la demande. Le nouveau bac nécessite un équipage de huit hommes pour le manœuvrer. Cliquer sur la photo pour l'agrandir.

    Trait d'union avec le Pays bigouden

    En 1890, l'installation de deux bacs charretiers d’une dizaine de mètres de longueur assure désormais un service régulier. Au début du XXe siècle, les premières automobiles circulent sur les routes et certaines osent la traversée de l’embouchure de l’Odet. Le tarif affiché pour l’embarquement sur le bac est de 5 centimes pour les piétons, 10 centimes pour les bicyclettes, 2 francs pour les charrettes et automobiles. Durée de la traversée : 6 minutes.

    Trait d'union avec le Pays bigouden

    Le 1er août 1911, on inaugure la mise en service du premier bac à vapeur. D’une longueur de 15 mètres et large de 8 mètres, il est guidé par des chaînes immergées qui s’enroulent autour d’un tambour. Il est remplacé durant l’été 1929, par un bac à vapeur qui va couler dans la nuit du 4 au 5 décembre de cette même année, lors d’une tempête.

    Renfloué, le bac reprend du service, jusqu’au 11 octobre 1944, où sur la cale de Sainte-Marine l’armée d’occupation va le dynamiter. Au mois de janvier 1945, une vedette remorquant un chaland en bois va assurer la traversée. Cliquer sur la photo pour l'agrandir.

    Trait d'union avec le Pays bigouden

    En 1951, un bac est en place et sa capacité de chargement est de 20 voitures. De part et d'autre de la rivière, les files d'attente s'allongent. De 28 000 véhicules en 1951, on est passé à 290 000 en 1971. Il était temps de réfléchir à une autre solution pour traverser l'estuaire de l'Odet. Cliquer sur la photo pour l'agrandir.

    François Cosquéric

     


  • Espoir de Clohars 6-1 US Portugaise

    Les visiteurs ont beaucoup montré... mais n’ont pas pu prendre le dessus sur l’équipe adverse. Quentin Deniel est élu homme du match.

    1ère Mi-temps. Alors que les débats sont équilibrés, l’entraineur-joueur Loic Druon ouvre le score pour les locaux sur un corner bien tiré de Julien Kerboul (17’). Les visiteurs tentent de répliquer mais ne parviennent pas à tromper la vigilance du gardien Baptiste Le Pape. A la 27ème Quentin Deniel marque le but du le 2-0, mais à peine 3 minutes plus tard, Anthony Coris réduit l’écart : 2-1. L’arbitre siffle la mi-temps, l’ECF peut s’estimer heureux de mener à la pause, tant les débats étaient équilibrés.

    2ème mi-temps. Sentant une rébellion de l’adversaire en seconde mi-temps, Loic Druon repositionne son équipe. A la 50ème minute, Quentin Deniel décoche une frappe sublime des 40 m pour tromper un gardien sans doute trop loin de sa ligne : 3-1. La confiance s’installe pour les locaux qui parviennent à creuser l’écart par Yohann Lemire qui profite d’un bon travail du capitaine Wilfrid Ribeiro à la 57’ : 4-1. Un capitaine passeur mais qui devient rapidement buteur grâce à une passe décisive de Quentin Deniel : 5-1. A la 79ème minute Yohann Lemire conclu le match d’une belle frappe à l’entrée de la surface. 

    L’ECF 1 est premier de la poule E de D2 avec cette 3ème victoire en autant de match.

    L'ECF 2, en match d’ouverture, perd 1-5 face à une très belle équipe du Quimper Italia B (But de Michael Guennec).

    Prochain rendez-vous. Le 11 octobre l’équipe de Clohars-Fouesnant se déplacera à Saint-Thurien en coupe J-P Gonidec.


  • Proxi :  nouveaux gérants

     
    La supérette Proxi rouvre ses portes ce jeudi matin. Aux commandes, un nouveau couple de gérants : Benoît Le Roux et sa conjointe Gwenaëlle Barbotin. Tous les deux travaillaient précédemment dans la région rennaise, lui au rayon poissonnerie d’un hyper et, elle comme hôtesse de caisse.

    A proximité

    Proxi, c'est un magasin d'une superficie de 120 m² : épicerie, produits frais, produits d’hygiène et d’entretien. Autres services, le distributeur automatique de billets, le dépôt de gaz et le point relais.
    Centre bourg, au n° 8, route de Benodet au bourg de Gouesnac’h. Ouverture, du mardi au samedi de 7 h 30 à 13 h et de 15 h à 19 h 30 ; le dimanche de 7 h 30 à 12 h 30 ; fermé le lundi.

    François Cosquéric