-
Tap : une solidarité réciproque ?
Tap : une prestation de qualité !
Le droit de réponse du maire.
Comme l’ensemble des Gouesnachais, Le maire Gildas Gicquel a découvert les communiqués parus dans les quotidiens et, qui traitaient deux sujets différents. Leur provenance ? " Malheureusement ", selon le maire, " d’un groupe d’opposants à la municipalité actuelle qui refuse toujours la défaite démocratique de mars 2014 et qui se sert de faits pour créer des polémiques et essayer de mettre en difficulté l’actuel conseil."
Activités périscolaires. Elles représentent un coût non négligeable pour une commune comme la notre, il ne s’agit pas de faire payer le coût réel de l’encadrement des enfants (80.000 € environ) mais de demander une participation symbolique à raison de 20 à 30 € l’an, ceci afin de montrer que les familles qui bénéficient de cette prestation de qualité, soient reconnaissants de l’effort financier de l’ensemble de la population. Le montant de cette participation devant être décidé après concertation avec l’ensemble des personnes concernées.
Solidarité réciproque. Je suis particulièrement surpris par ce refus de principe alors que la commune s’apprête à faire un ensemble d’investissements, comme l’aménagement d’un espace de loisirs, et la construction d’une salle indispensable à ces activités périscolaires. Au moment où les dotations de l’Etat pour la commune diminuent de 40 000 € pour cette année, il me semble qu’une solidarité réciproque doit jouer entre les Gouesnachais.
La politique jeunesse. Certains affirment que la politique jeunesse à Gouesnac’h n’existe que depuis seulement deux ans alors que nous allons fêter ses dix ans en juin 2015, balayant tout l’investissement des différentes équipes. Je tiens à préciser que la création des T.A.P. nous a obligé à ouvrir un centre de loisirs sur la commune. Ce confort pour les utilisateurs ne doit pas faire oublier que nous avions mutualisé ce service avec les communes de Pleuven et de Clohars-Fouesnant auparavant.
Coût et fréquentation en baisse. Actuellement, pour une fréquentation moindre, nous avons un coût de fonctionnement beaucoup plus important. Il n’est pas rare d’avoir seulement quelques enfants qui mobilisent plusieurs animateurs.
Quelle dialogue ? Je regrette que de tels écrits soient diffusés en priorité dans la presse et qu’une manifestation soit le seul mode de communication choisi. A la différence de l’ancienne équipe municipale, toutes les idées sont pré-débattues avec les adjoints, chargés de l‘élaboration de chaque projet validé par le Conseil Municipal.
François Cosquéric
Tags : commune, coût, solidarite, réciproque, Tap, dotation, état, polémique, conseil, municipal, opposants, politique, jeunesse, effort, financier