Sur son compte Facebook, ce 1er mai 2025 Jean-Pierre Marc fait état du classement sans suite de plaintes pour diffamation.
Ce dossier a été évoqué lors du dernier conseil municipal (15 avril 2025) comme le rappel le maire : « M Mas s’est prévalu de plusieurs plaintes de lui même et de certains de ses collègues à mon égard pour diffamation. M Mas, s’érigeant en procureur dans une diatribe outrancière et violente en début de conseil et les élus cosignataires, subissent une lourde déconvenue car la Procureur de la République a confirmé le classement des plaintes sans suite. »
« Il n'y a donc rien dans ce fameux mémorandum qui soit une quelconque atteinte aux personnes ou qui corresponde aux accusations de M.Mas. »
--------------------------------------------------------
Un mémorandum : mais, de quoi s’agit-il ?
Les coups bas se multiplient au sein du conseil municipal. Le mémorandum distribué sous le manteau à des sympathisants, s’apparente à une peau de banane dirigée cette fois-ci contre des anciens élus de la liste de Jean-Pierre Marc, en poste depuis les élections municipales de 2023. Aujourd’hui, les élus en cause ont rejoint les rangs des deux équipes d’opposition et, par conséquent le groupe est devenu majoritaire au conseil municipal.
-------------------------------------------------------------------
L’écrit du mémorandum ci-dessous (en partie) a amené sept élus à porter plainte contre M Marc, pour diffamation, dénigrement, calomnie et harcèlement moral... Plainte sans suite.
Jean-Pierre Marc : « Dès ma ré-élection, j’ai senti la volonté de membres de la nouvelle équipe de jouer sur les reproches que me firent les élus précédents. D’ailleurs, très vite une adjointe, puis son mari sont venus me faire une véritable leçon de morale avec menace de démission. Par la suite, dès le 13 février une réunion a été réalisée en mon absence pour faire un véritable procès soviétique dont j’ai eu beaucoup de mal à me remettre… En effets, au fil des actions les élus concernés, les plus vindicatifs, étaient aussi ceux qui réalisaient le plus d’actions douteuses, voire dangereuses, pour la responsabilité de la collectivité et du maire. »
Et de citer « les reproches faits au maire, imputables à des élus imprudents. » A titre d’exemples : la réfection du cimetière avec du béton spécial, l’inversion du sens de priorité route de l’Odet, la suppression du panneau verglas route de Bénodet, la commande de 5 coussins Berlinois, repeindre le pignon tagué de la Tisaunière et la nommination d’un adjoint concerné par un emploi familial dans les services…
Et de citer « des dérives susceptibles de faire courir des risques juridiques à la collectivité… Des absences préjudiciables, etc. »