De source sûre. Un certain Cahuzac, alors ministre affirmait " droit dans les yeux, je jure que..." Et si au niveau de l'Etat la parole n'a plus de valeur, à l'échelon communal on suit le même chemin. Une certitude, les promesses ne valent qu'aux gens qui veulent bien y croire.
Jeudi 12 juin. Le maire Jean-Pierre Marc me l'avait affirmé : « Le banc a été enlevé à la demande d’un riverain pour faciliter l’aménagement de voirie. Sous une dizaine de jours, il sera repositionné dans ce même secteur, après avoir refait la dalle de soubassement en béton. » De renchérir : « sans doute, avant 10 jours. » Pari tenu monsieur le maire ?
Jeudi 27 juin. Pas de nouvelle(s) de la remise en place d'un banc à Pors-Guen. Du seul banc de Pors-Guen, désormais aux abonnées absents. Doit-on s'assoir sur la parole donnée ? Auparavant il était positionné à main gauche au bout de la route communale, en arrivant dans l'anse.
C'est limite. Aujourd'hui, le riverain en question a placé deux rochers de part et d'autre du chemin privé. En limite ou hors limite de sa propriété ? Un bornage devrait le confirmer... à la demande de la municipalité.
Deux rochers. Pourquoi y avoir mis de la peinture rouge ? Pour marquer un territoire ? Sans doute et, plus sûrement interdire le re-positionnement d'un banc dans cet environnement. Mais, d'autres solutions existent de l'autre côté de la voie communale.
Alors ce banc ? Va t-il rester stocké dans l'atelier communal ? Comme ce fut le cas pour le skate park.